Les formations reconnues par la profession constituent la voie royale : école de journalisme ou en IUT spécialisé, ou encore à partir de formations de niveaux II ou I (IEP, licence, maîtrise...), complétées par des stages dans la presse. Ces formations sont accessibles sur concours très sélectifs, souvent à partir d'un niveau bac + 2 ou bac + 3 minimum. Pour de nombreux emplois, la carte de journaliste professionnel est exigée. Une commission officielle attribue cette carte sous certaines conditions (expérience...).
Le secteur des déchets a besoin comme d'autres secteurs d'activité d'accéder à des informations spécialisées le concernant. Les médias sont variés : revues spécialisées, sites Internet, lettres d'informations...
Le journaliste a pour missions de diffuser aux différents acteurs concernés du secteur (fonctionnaires territoriaux, responsables d'entreprises...) une information professionnelle portant sur l'actualité du secteur et l'analyse de politiques, destinée à faciliter l'exercice de leurs activités.
Le journaliste spécialiste des déchets peut être amené à animer des colloques (ADEME, Assises nationales des déchets), rédiger des dossiers thématiques (Taxe-redevance : quelle réforme du financement local?), réaliser des reportages (nouveaux process de recyclage de déchets par exemple).
-Suivre l'actualité
-Collecter l'information (enquêtes, reportages, interviews, communiqués de presse, etc.)
-Rédiger des articles, des communiqués
-Couvrir des événements (Pollutec, Assises nationales des déchets, etc.)
-Animer des colloques
-Participer à des écrits, etc.
Le centre de ressources Rudothèque a été créé et est animé par l’association Rudologia.
Pour connaitre l'association et ses missions : www.rudologia.fr